Ecoles du Monde
Résumé de ' Le dernier jour d'un condamné' de Victor HUGO - Epreuves


Questionnaire:

Ce roman est l’un des premiers écrits par Victor Hugo.
Dans sa préface il nous dit son souhait d’écrire un « plaidoyer contre la peine de mort »
Pour ce faire, il donne la parole à un condamné, qui sait qu’il va mourir.
Ce dernier ne cherche pas à rejeter la faute qu’il a commise, il ne se révolte pas… il vit, seconde après seconde, les moments qui le séparent de sa mort
Victor Hugo lui donne la parole : et nous entendons, nous voyons, nous ressentons ce que le condamné entend, voit, ressent.
Le point de vue interne joue à merveille, on se sent proche de cet homme ; on s’identifie à lui… on ne peut pas supporter de savoir que dans quelques heures, il va mourir et l’on éprouve un grand deuil quand les mots ne s’écrivent plus, quand la plume n’a plus de main pour la tenir.
Magnifique et grandiose écriture que celle de Victor Hugo dans ce monologue intérieur : les procédés d’emphase, les effets surprenants de personnification, les gradations… quelle plaidoirie !

1. Quel est le narrateur de ce roman ?

à quelle personne est-il écrit ?
Comment appelle-t-on ce point de vue ?
Quelles sont les conséquences (sur le lecteur) de cette façon de raconter les choses ?
A quel type de caméra cela correspond-il au cinéma ?

2. Expliquez pourquoi on ne peut pas nommer cette œuvre :

· Une autobiographie ?
· Une confession ?
· Un journal intime ?
· Une lettre ?
· Des mémoires ?

3. Le personnage :

· Sur ce qu’on apprend de lui, de ses façons de se conduire…, peut-on dire qu’il est : cultivé/ ignare/grossier/ pauvre ? vous appuierez votre réponse en citant un bref extrait
· Quelles sont ses relations avec les autres prisonniers qu’il rencontre ?
· Quels sont ses souvenirs (extraits) sur son enfance/ les femmes/ sa femme/
· Quelles pensées a-t-il envers son enfant ?

4. le crime:

Par quels moyens Victor Hugo parvient-il à ne pas nous révéler les actes du condamné ?
· quand il aurait pu en parler ( au procès, ch.2)
· à cause de l’état psychologique du condamné
· par un artifice romanesque
EVALUATION

Chapitre premier

Bicêtre.



Condamné à mort !
Voilà cinq semaines que j'habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids !
Autrefois, car il me semble qu'il y a plutôt des années que des semaines, j'étais un homme comme un autre homme. Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée. Mon esprit, jeune et riche, était plein de fantaisies. Il s'amusait à me les dérouler les unes après les autres, sans ordre et sans fin, brodant d'inépuisables arabesques cette rude et mince étoffe de la vie. C'étaient des jeunes filles, splendides chapes d'évêque, des batailles gagnées,des théâtres pleins de bruit et de lumière, et puis encore des jeunes filles et de sombres promenades la nuit sous les larges bras des marronniers. C'était toujours fête dans mon imagination. Je pouvais penser à ce que je voulais, j'étais libre. Maintenant je suis captif. Mon corps est aux fers dans un cachot, mon esprit est en prison dans une idée. Une horrible, une sanglante, une implacable idée ! Je n'ai plus qu'une pensée, qu'une conviction, qu’une certitude : condamné à mort ! Quoi que je fasse, elle est toujours là, cette pensée infernale, comme un spectre de plomb à mes côtés,seule et jalouse, chassant toute distraction, face à face avec moi misérable, et me secouant de ses deux mains de glace quand je veux détourner la tête ou fermer les yeux. Elle se glisse sous toutes les formes où mon esprit voudrait la fuir, se mêle comme un refrain horrible à toutes les paroles qu'on m'adresse, se colle avec moi aux grilles hideuses de mon cachot ; m'obsède éveillé, épie mon sommeil convulsif, et reparaît dans mes rêves sous la forme d'un couteau. Je viens de m'éveiller en sursaut, poursuivi par elle et me disant : - Ah ! ce n'est qu'un rêve ! - Hé bien ! Avant même que mes yeux lourds aient eu le temps de s'entr'ouvrir assez pour voir cette fatale pensée écrite dans l'horrible réalité qui m'entoure, sur la dalle mouillée et suante de ma cellule, dans les rayons pâles de ma lampe de nuit, dans la trame grossière de la toile de mes vêtements, sur la sombre figure du soldat de garde dont la giberne reluit à travers la grille du cachot, il me semble que déjà une voix a murmuré à mon oreille:

- Condamné à mort !





Mise en situation: Il s'agit de l'incipit.

Qui est le personnage principal de l'œuvre?
Pour quel crime est-il condamné?
Pourquoi l'auteur s'est contenté de quelques informations ?
Analyse:

1) Quel est le genre de ce texte?
2) Quel est son type?
3) Quelle est la visée de l'auteur?
4) S'agit-il d'un discours ou d'un récit?
5) Qui parle dans ce passage? A qui? De quoi? Où? Quand?
6) Quelle idée obsède l'esprit du narrateur? Relevez le portrait de cette idée?(tableau)
7) Quelle est donc le point de vue de la narration?
8) Relevez les indicateurs temporels et les temps verbaux et dégagez l'opposition autour de laquelle le texte est construit.
9) Relevez les champs lexicaux dominants dans ce passage. Comment servent-ils cette opposition?
10) Dites en quoi cet incipit remplit-il sa fonction informative?

Traces écrites:

Il s'agit d'un roman à thèse où l'auteur dénonce la peine de mort. Le texte est un récit qui s'apparent à un discours. En effet, le narrateur s'adresse à lui-même; c'est un monologue intérieur. Le narrateur étant lui-même le personnage principal, le texte est à la première personne avec une focalisation intérieur qui nous permet de vivre avec ce pauvre condamné ses derniers jours attendant l'exécution. Une idée préoccupe l'esprit du narrateur sa condamnation à mort. Cette idée l'obsède, il la décrit comme une femme qui le secoue avec ses deux mains d'où la personnification. Le texte est riche en termes appartenant au champ lexical "la prison".

Epreuve Globale



Texte

Il est dix heures.

Ô ma pauvre petite fille ! Encore six heures, et je serai mort ! Je serai quelque chose d’immonde qui traînera sur la table froide des amphithéâtres1 ; une tête qu’on moulera d’un côté, un tronc qu’on disséquera de l’autre ; puis de ce qui restera, on en mettra plein une bière2, et le tout ira à Clamart3.

Voilà ce qu’ils vont faire de ton père, ces hommes dont aucun ne me hait, qui tous me plaignent et tous pourraient me sauver. Ils vont me tuer. Comprends-tu cela, Marie ? Me tuer de sang-froid, en cérémonie, pour le bien de la chose ! Ah ! Grand Dieu !

Pauvre petite ! ton père qui t’aimait tant, ton père qui baisait ton petit cou blanc et parfumé, qui passait la main sans cesse dans les boucles de tes cheveux comme sur de la soie, qui prenait ton joli visage rond dans sa main, qui te faisait sauter sur ses genoux, et le soir joignait tes deux petites mains pour prier Dieu !

Qui est-ce qui te fera tout cela maintenant ? Qui est-ce qui t’aimera ? Tous les enfants de ton âge auront des pères, excepté toi. Comment te déshabitueras-tu, mon enfant, du Jour de l’An, des étrennes, des beaux joujoux, des bonbons et des baisers ? – Comment te déshabitueras-tu, malheu-reuse orpheline, de boire et de manger ?

Oh ! si ces jurés l’avaient vue, au moins, ma jolie petite Marie ! ils auraient compris qu’il ne faut pas tuer le père d’un enfant de trois ans.

Et quand elle sera grande, si elle va jusque-là, que deviendra-t-elle ? Son père sera un des souvenirs du peuple de Paris. Elle rougira de moi et de mon nom ; elle sera méprisée, repoussée, vile à cause de moi, de moi qui l’aime de toutes les tendresses de mon cœur. Ô ma petite Marie bien-aimée ! Est-il bien vrai que tu auras honte et horreur de moi ?

Misérable ! quel crime j’ai commis, et quel crime je fais commettre à la société !



___________________________________________________



I-Compréhension et langue :

1- Présentez brièvement l’auteur.

2- Situez l’extrait par rapport à l’œuvre intégrale complète.

3- a. Le statut du texte se définit en tant que discours:



Oral? Intérieur ? ou écrit ?

b. Se rattache-t-il au genre :

. De l’autobiographie ?

. Des confessions ?

.du journal intime ?

. Ou des mémoires ?

c. Le narrateur se trouve à :

Bicêtre

La Conciergerie

L’Hôtel de ville

4- Pourquoi l’auteur a-t-il choisi d’écrire son récit à la première personne grammaticale ?

5- A qui tout particulièrement veut-il léguer son cahier ?

6- Quelle image du père nous offre le texte ?justifiez votre réponse par trois indices.

7- Quelle est la réaction du condamné devant sa condamnation ? Pourquoi le choix d’une telle attitude ?

8-Dans quelle tonalité s’inscrit donc cette scène ?repérez deux procédés participant à cette tonalité

9-Relevez trois exemples qui désignent la fatale guillotine.

10-Le condamné méprise l’incompréhension profonde dont il est entouré. Comment ?

11-Examinez la thèse de Victor Hugo et formulez trois principaux arguments.

12-Identifiez la figure de style dans les phrases suivantes:

a-Comment te déshabitueras-tu, malheureusement orpheline, de boire et de manger ?
b-Ces hommes dont aucun ne me hait, qui tous me plaignent et tous pourraient me sauver. Ils vont me tuer.

II-Production écrite :

(Traitez au choix un des deux sujets proposés).

Sujet1 :



Imaginez une lettre du condamné à son avocat dans laquelle il développe trois arguments contre la peine de mort.

Sujet2 :



Imaginez le plaidoyer de l’avocat du condamné.

-Votre texte argumentatif s’inspirera des arguments développés par le condamné et débouchera sur une remise en cause de la peine capitale.

Epreuve





Chapitre XIII

passage 6

Texte:

En un clin d'œil le préau se vida de tout ce qui n'était pas argousin ou galérien. Les curieux de Paris allèrent s'abriter sous les auvents des portes.

Cependant la pluie tombait à flots. On ne voyait plus dans la cour que les forçats nus et ruisselants sur le pavé noyé. Un silence morne avait succédé à leurs bruyantes bravades. Ils grelottaient, leurs dents claquaient ; leurs jambes maigries, leurs genoux noueux s'entrechoquaient ; et c'était pitié de les voir appliquer sur leurs membres bleus ces chemises trempées, ces vestes, ces pantalons dégouttant de pluie. La nudité eût été meilleure.

Un seul, un vieux, avait conservé quelque gaieté. Il s'écria, en s'essuyant avec sa chemise mouillée, que cela n'était pas dans le programme ; puis se prit à rire en montrant le poing au ciel.

Quand ils eurent revêtu les habits de route, on les mena par bandes de vingt ou trente à l'autre coin du préau, où les cordons allongés à terre les attendaient. Ces cordons sont de longues et fortes chaînes coupées transversalement de deux en deux pieds par d'autres chaînes plus courtes, à l'extrémité desquelles se rattache un carcan carré, qui s'ouvre au moyen d'une charnière pratiquée à l'un des angles et se ferme à l'angle opposé par un boulon de fer rivé pour tout le voyage sur le cou du galérien. Quand ces cordons sont développés à terre, ils figurent assez bien la grande arête d'un poisson.

On fit asseoir les galériens dans la boue, sur les pavés inondés ; on leur essaya les colliers ; puis deux forgerons de la chiourme, armés d'enclumes portatives, les leur rivèrent à froid à grands coups de masses de fer. C'est un moment affreux, où les plus hardis pâlissent. Chaque coup de marteau, assené sur l'enclume appuyée à leur dos, fait rebondir le menton du patient ; le moindre mouvement d'avant en arrière lui ferait sauter le crâne comme une coquille de noix.

Après cette opération, ils devinrent sombres. On n'entendait plus que le grelottement des chaînes, et par intervalles un cri et le bruit sourd du bâton des gardes-chiourme sur les membres des récalcitrants. Il y en eut qui pleurèrent ; les vieux frissonnaient et se mordaient les lèvres. Je regardai avec terreur tous ces profils sinistres dans leurs cadres de fer.



Compréhension:



1) À quel moment du récit se situe la scène?

2) Où se trouve le héros?

3) Quel est le thème principal de ce passage ?

4) Quels sont les personnages de ce passage? Distinguez-en les différentes catégories.

5) Comment chacun d'eux est-il présenté? Relevez les termes qui les décrivent.



Le corrigé:



1) Le condamné sera exécuté dans six semaines. Il a décidé de tenir un cahier journal où il raconte sa souffrance en attendant la mort. On est encore au début, le condamné est dans la prison de Bicêtre. Il vient d'assister d'une fenêtre à une scène horrible dont il nous fait le compte rendu.

2) Le condamné est toujours à Bicêtre mais pas dans sa cellule; un geôlier l'a invité à regarder le spectacle de ferrement des forçats à travers la fenêtre d'une chambre où il a été enfermé.

3) Le thème principal de ce passage est le spectacle du ferrement des forçats.

4) Les différents personnages sont :

- Les forçats / Les gardes-chiourmes / Le condamné.

5)- Les forçats étaient dans un état pitoyable surtout à cause de la pluie. "les forçats nus et ruisselants ….Ils grelottaient, leurs dents claquaient; leurs jambes maigries, leurs genoux noueux s'entrechoquaient, et c'était pitié de les voir appliquer ces chemises trempées, ces vestes, ces pantalons dégoûtants de pluie. La nudité eut été meilleure"

- Les gardes-chiourmes: on n'a aucune précision sur leur identité, ils exécutent les ordres. Ils sont remplacé par le pronom personnel "on". Ils sont brutaux avec les récalcitrants. .on fit asseoir les galériens dans la boue,…. on leurs essaya les colliers on n'entendait plus que le ….par intervalles un cri et le bruit sourd du bâton des gardes chiourmes

- Le narrateur regarde la scène et s'apitoie sur le sort de ces pauvres prisonniers."On ne voyait plus que …..on n'entendait plus …"





Examen Normalisé Régional de la langue française. :
1ière Année du cycle du Baccalauréat.
-Académie Souss Massa Drâa..
-Toutes les sections.
Texte de départ


Il est dix heures.
Ô ma pauvre petite fille ! Encore six heures, et je serai mort ! Je serai quelque chose d’immonde qui traînera sur la table froide des amphithéâtres1 ; une tête qu’on moulera d’un côté, un tronc qu’on disséquera de l’autre ; puis de ce qui restera, on en mettra plein une bière2, et le tout ira à Clamart.
Voilà ce qu’ils vont faire de ton père, ces hommes dont aucun ne me hait, qui tous me plaignent et tous pourraient me sauver. Ils vont me tuer. Comprends-tu cela, Marie ? Me tuer de sang-froid, en cérémonie, pour le bien de la chose ! Ah ! Grand Dieu !
Pauvre petite ! Ton père qui t’aimait tant, ton père qui baisait ton petit cou blanc et parfumé, qui passait la main sans cesse dans les boucles de tes cheveux comme sur de la soie, qui prenait ton joli visage rond dans sa main, qui te faisait sauter sur ses genoux, et le soir joignait tes deux petites mains pour prier Dieu !
Qui est-ce qui te fera tout cela maintenant ? Qui est-ce qui t’aimera ? Tous les enfants de ton âge auront des pères, excepté toi. Comment te déshabitueras-tu, mon enfant, du Jour de l’An, des étrennes, des beaux joujoux, des bonbons et des baisers ? – Comment te déshabitueras-tu, malheureuse orpheline, de boire et de manger ?
Oh ! Si ces jurés l’avaient vue, au moins, ma jolie petite Marie ! Ils auraient compris qu’il ne faut pas tuer le père d’un enfant de trois ans.
Et quand elle sera grande, si elle va jusque-là, que deviendra-t-elle ? Son père sera un des souvenirs du peuple de Paris. Elle rougira de moi et de mon nom ; elle sera méprisée, repoussée, vile à cause de moi, de moi qui l’aime de toutes les tendresses de mon cœur. Ô ma petite Marie bien-aimée ! Est-il bien vrai que tu auras honte et horreur de moi ?
Misérable ! Quel crime j’ai commis, et quel crime je fais commettre à la société !
VICTOR HUGO, Le Dernier Jour d’un condamné, (Folio classique, pp101-102).
*Compréhension : (10 pts)

1- Situez le passage dans l’œuvre. (1 pt).
2- a- Qui est le narrateur dans ce texte ? (0.5 pt)
b- Justifiez votre réponse en relevant un élément du texte. (0.5 pt)
3- Quel indice montre que ce texte s’apparente à un journal intime ? (1 pt).
4- a- Comment le narrateur se d écrit- il au début du texte ? (1 pt).
b- Quel effet cherche- il à produire sur le lecteur par cette description ? (1 pt).
5- Comment le narrateur évoque –t- il son passé ? (1 pt).
6- Relevez dans le texte :
a- Deux mots ou expression appartenant au champ lexical de l’amour. (0.5 pt)
b- Deux mots ou expression appartenant au champ lexical de la mort. (0.5 pt)
7- a- A qui le narrateur s’adresse-t-il dans ce texte ? (0.5 pt)
b- Pourquoi ? (1 pt).
8- Le texte a :
a- Une visée argumentative.
b- Une visée informative.
c- Une visée descriptive.
Recopiez la bonne réponse. Justifiez- la. (1.5 pt).

*Production Ecrite : (10 pts)

L’enfance évoque pour certains un bon souvenir et pour d’autres une triste période. A la quelle des deux catégories (enfance heureuse/ enfance malheureuse) appartenez- vous ?
Rédigez un texte dans lequel vous porterez un jugement sur votre enfance.



Correction de l’examen régional
-Matière : la langue française.
-Niveau : 1ière année du bac.
-Académie de Souss Massa Drâa.

Compréhension de l’écrit :

1-Après son jugement le narrateur attend son exécution dans son cachot (cellule), il tombe dans une rêverie où il évoque le sort de sa fille…
2- a- Le narrateur c’est un condamné à mort…le père d’une petite fille.
b- justifications (parmi autres) : « je serai mort ! » - « ils vont me tuer » - « …il ne faut pas tuer le père d’un enfant de trois ans »…
3- - l’indicateur de chronologie « il est dix heures ».
- le « je »
4- a- le narrateur se décrit au début du texte comme une dépouille, il a perdu son caractère humain et revêt un autre d’une chose « je serai quelque chose d’immonde». Il anticipe sur la façon dont il sera torturé…il évoque la barbarie que cause la peine de mort « une tête qu’on moulera d’un côté, un tronc qu’on disséquera de l’autre ».
b- Il cherche à toucher le lecteur pour l’amener à partager sa thèse. (Effetpathétique).
5- Il évoque son passée avec nostalgie, son passé est plein de bonheur à côté de sa fille.
6- a- l’amour : entre autres (t’aimait- bisait- passait la main dans les boucles de tes
cheveux- t’aimera- bien-aimée…)
b- la mort : entre autres (disséquera- bière- tuer- mort...)
7- a- Le narrateur s’adresse dans ce texte à sa fille et à travers elle à toute la société.
b- abolition de la peine de mort ; sa fille n’est qu’un argument de plus à la faveur de sa thèse « … il ne faut pas tuer le père d’un enfant de trois ans ». « Quel crime je fais commettre à la société».
8- le texte a une visée argumentative : c’est un plaidoyer contre la peine de mort.

Production de l’écrit :

Lors de la production l’élève doit prendre en considération les éléments suivants :
- Etre conforme au sujet (ne pas tomber dans le hors-sujet et parler de l’enfance en général…).
- Présenter son texte en cohérence et en cohésion.
- Chercher des idées originales et riches.
- Soigner et corriger sa langue d’écriture.

Envoyé par Adjou Addi : Lycée Sidi Amrou à Tazarine.(Madariste)


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Résumé de ' Le dernier jour d'un condamné' de Victor HUGO - Epreuves (Ecoles du Monde)    -    Auteur : Hassan Elmzarane - Maroc


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dernière mise à jour : 2013-06-05

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